Liquidité, reporting, stress tests, nouveaux business models… 10 témoignages opérationnels post-Bâle
Après plusieurs années de préparation, tout s’accélère pour les banques et établissements financiers soumis à Bâle III !
Adoptés le 17 juillet 2013 et applicables dès le 1er janvier 2014, le règlement et la directive Capital Requirements IV défient les business models traditionnels du secteur bancaire, en mettant un accent particulier sur la liquidité de leurs actifs. Ce « paquet » vous oblige en effet à réorganiser la communication avec les autorités, à adapter votre gestion actif/passif, et, plus que jamais, à concilier conformité et attractivité auprès des investisseurs. Avec le rôle élargi de la BCE, le renforcement des sanctions de l’ACPR, le Single Rulebook de l’ABE, les stress tests, l’« Asset quality review », ou encore le projet d’Union bancaire… les exigences deviennent plus complexes. Comment assurer une mise en œuvre sereine et naviguer parmi toutes ces contraintes ? Quelles sont les innovations financières encore possibles post-Bâle III ? À l’aube de la première échéance concrète de reporting du 31 mars 2014, Dii vous propose une journée d’échanges avec les établissements financiers français et internationaux.