En partenariat avec la Fédération Bancaire Française, l’Association Française des Investisseurs Institutionnels (Af2i), l’Association Française de la Gestion financière (AFG), l’Association Française des Investisseurs pour la Croissance (AFIC) et l’Association française des Sociétés de Placement Immobilier (ASPIM).
Sous le souffle d’un vent réformateur post-crise sans précédent, l’industrie de la gestion d’actifs doit faire face à un nouvel environnement où les frontières entre les services bancaires et les services financiers traditionnels sont brouillées tandis que les besoins de financement et d’accès aux capitaux ne cessent de croître.

De nouvelles régulations très contraignantes pour les asset managers sont déjà en place ou sur le point d’être mises en œuvre telles qu’AIFMD, EMIR, OPCVM V ou MIFID 2 / MIFIR, etc. Combinées aux nouvelles exigences de reporting fiscal prévues notamment par FATCA, les sociétés de gestion et les asset servicers doivent réussir le tour de force de faire coexister leur esprit d’entreprise avec une approche plus axée sur la conformité et la transparence au regard de leurs performances et de leur gestion des risques.
Dans ce nouveau contexte, plusieurs secteurs d’activité de la gestion d’actifs revoient leurs objectifs de croissance et de développement, leurs modèles opérationnels, ainsi que la manière dont ils élaborent et conduisent leurs activités, alors que l’Union européenne se lance dans une nouvelle phase de sa construction au travers du projet Union des Marchés de Capitaux.
Comment l’industrie française de la gestion d’actifs et la Place de Paris se préparent-elles à de tels enjeux ?

L’industrie de la gestion d’actifs à l’heure de l’Union des Marchés de Capitaux – à télécharger